Il y a des jours avec, et il y a des jours sans. Hier, c’était sans. Bagarres pour savoir qui ira au centre commercial avec moi, bruits collectifs autour du petit dernier qui se réveille 12 fois par sieste, verres d’eau qui n’arrêtent pas de tomber. Au demeurant, je ne suis pas plus patiente avec les années. Ni avec le nombre d’enfants. C’est bien dommage, je crois que ça m’aiderait.
Faiblesse quand tu me tiens, malgré les efforts prononcés pour donner des consignes précises à appliquer, ma bouche ne s’est ouvert que pour…crier. Et ça, une bonne partie de la journée.
Le soir venant, le coucher des enfants aidant, je me sens un peu apaisée et m’en veux de tous ces cris tonitruants. Il faut bien s’en rappeler, ce sont des enfants.
Je me suis donc assise sur le seul lit raisonnablement à ma hauteur et avant même d’avoir pu fournir une explication, Lolo, ma sensible, m’a devancé :